Alors oubliez-vos plages à touristes, votre petit confort “id’île hic” et penchez-vous plutôt sur la société des humains que vous êtes et qui vous entoure, pauvres, riches, délinquants et, essayez plutôt de voir dans cette providence le moyen de vivre une nouvelle forme d’humanité, où chacun aurait sa place sans qu’il n’y ait de discrimination, de séparation de classe, de profiteurs et de laissés pour compte.
Tiens, je vais faire une boucle… si les algues se développent anormalement, c’est qu’en fait elles sont des nettoyeuses d’océan. Souvenez vous en Bretagne il y a quelques années, on s’est aperçu qu’elles étaient chargées d’éléments chimiques issus des produits agricoles polluants et nocifs. Voyez comme la nature fait bien les choses, elle invente et crée ses propres remèdes. Mais revenons aux sargasses qui agacent. Ces 2 continents surexploités que sont l’Afrique et l’Amérique du sud déversent au travers de leurs fleuves quantité de polluant (http://www.lescrutateur.com/2015/04/ ces-sargasses-qui-nous-escagassent.html ), il est alors normal de voir ce phénomène s’accentuer. Voyons à qui profite le crime, certainement pas aux autochtones, qui en subissent plutôt les désagréments, appauvrissement inclus. Par contre les riches industriels, et toute leur clique de privilégiés de la planète, qui maintiennent ces états d’industrialisation, de recherche de ressources, (pillage serait plus juste) et qui font des profits colossaux, sont les uniques responsables de ces pollutions. Ce qui leur permet d’aller se faire bronzer aux caraïbes. Mais la aujourd’hui y’a un hic, plus de plage… et ça pue quand ça se décompose.
Alors la boucle est bouclée, retour au profiteur qui devront bientôt aller dans les zones arctiques et polaires, d’ici à ce que la glace ait fondue, pour aller se dorer la pilule, une fois que les ours blancs auront disparus.
Charli Etchegoyen