Une journée de repos bien méritée après deux premiers jours de course intenses, lors de laquelle ils se sont retrouvés sur la plage de Saint-Jean et au restaurant Nikki Beach, réputé pour son ambiance festive. L’endroit a, évidemment, tenu ses promesses. Aussi, chacun – coureurs, population locale, partenaires ou encore journalistes – a pu se détendre et s’amuser au rythme d’un programme d’animations riche et varié proposé par les organisateurs. Au menu : des joutes de Stand-Up Paddle géant, une chasse au trésor… En somme, une foule d’activités, avec pour mot d’ordre « convivialité », celui-là même qui a fait la réputation des Voiles de Saint-Barth depuis leur création en 2010.
«Le day-off est né de l’idée de renforcer les liens entre les équipages en leur permettant de mieux se rencontrer à terre dans une atmosphère conviviale autour d’activités sportives et de détente. Chacun peut ainsi prendre du plaisir, s’amuser et profiter à plein de l’hospitalité de Saint-Barth», explique François Tolède, le Directeur des Voiles de Saint-Barth, qui peut se satisfaire d’avoir pleinement réussi son pari, la preuve une nouvelle fois aujourd’hui, au Nikki Beach. Au travers des différentes activités qui leur ont été proposées, les équipages se sont, en effet, défiés sur des épreuves ludiques, dans une ambiance chaleureuse et festive. Pour commencer, plusieurs d’entre eux se sont lancés dans une chasse au trésor organisée avec Veuve Clicquot, partenaire premium des Voiles de Saint Barth depuis trois éditions, dans la baie de Saint-Jean.
Le but ? Trouver les bouteilles de champagne cachées un peu partout, entre le rocher de l’Eden Rock et la plage, un clin d’œil à la célèbre maison qui a lancé le programme Cellar in the Sea. Un programme né après qu’en juillet 2010, dans l’épave d’un navire coulé près de deux siècles plus tôt au sud de l’archipel d’Aland en Finlande, des caisses de champagne dans un état de conservation étonnant ont été découvertes par une équipe de plongeurs. Parmi celles-ci, 47 bouteilles élaborées par Madame Clicquot elle-même entre 1839 et 1841. «En juin 2014, nous avons replongé des bouteille en mer Baltique, à l’endroit même où les autres ont été retrouvées. Un autre échantillon a été mis en cave à Reims. En 2017, il est prévu de les repêcher puis de les déguster pour ainsi voir la différence entre le vieillissement dans l’eau et celui sous terre», a expliqué Aymeric Sancerre, Directeur communication internationale de Veuve Clicquot. Au final, quinze équipes ont trouvé une bouteille qu’elles vont maintenant avoir le privilège de déguster.
Des joutes de Paddle très disputées… et très physiques
Dans la foulée, plusieurs marins se sont prêtés avec enthousiasme à des joutes de Stand Up Paddle géant, l’une des nouveautés proposées cette année. Les hommes de Prospector (Maxi 2) se sont illustrés sur cette épreuve en décrochant leur place en finale après avoir battu Sirens Tigress en demi. Ils ont toutefois fini par s’incliner face à la redoutable équipe de Phaedo3 (Multi), pas peu fière d’avoir gagné à l’arrachée, il faut bien le dire. « C’était vraiment amusant mais aussi et surtout très physique. Bien plus que ça en a l’air en tous les cas !», a commenté Sam Goodchild, déjà présent aux Voiles de Saint-Barth l’an passé aux côté de Lloyd Thornburg. Assurément, cette journée a permis aux uns et aux autres d’échanger et de se rapprocher. A présent, tous espèrent renouer avec les choses sérieuses dès ce vendredi mais la météo pourrait venir perturber le programme initial. En effet, les alizés sont actuellement en panne sur le nord des Antilles. Par conséquent, c’est un vent quais nul – entre deux et quatre nœuds – que devrait souffler sur Saint-Barth. Affaire à suivre donc.
Dominique Gerente, Responsable des ventes Richard Mille pour l’Amérique Latine et les Caraïbes :
« Richard Mille est profondément attiré par la tradition. Les complexités que nous avons dans nos montres n’ont pas été inventées par lui, mais il a participé largement à leur développement. La voile est une tradition qui existe depuis des siècles. Les marins qui prennent part aux Voiles de Saint-Barth n’ont pas inventé le bateau mais ils participent à élever leur activité vers toujours plus de modernité. Une nouvelle ère même. C’est exactement ce que Richard Mille fait dans notre industrie. Il conçoit des montres avec de nouvelles formes, mais surtout de nouveaux matériaux. Tous les matériaux que nous utilisons sont très avant-gardistes et en rapport avec le profil haut de gamme de la voile et de la Formule 1, mais aussi de tout ce qui se fait dans l’aviation. Ce sont les trois mondes qui fascinent absolument Richard. »
Aymeric Sancerre, Direction de la Communication Internationale de Veuve Clicquot :
« Veuve Clicquot est une marque dans l’innovation. Madame Clicquot était la reine de l’innovation, la première à inventer le Rosé, la première à imaginer la table de remuage. De ce fait, nous aimons être précoces dans les partenariats et accompagner les événements dans le long terme. Aujourd’hui, nous sommes partenaires des Voiles de Saint-Barth pour la troisième année. C’est une belle alliance car, selon nous, l’épreuve est vraiment l’expression ultime du life style au niveau international et comme vous le savez, Veuve Clicquot, au-delà du champagne, est une attitude, un vrai art de vivre. Notre ambition, avec les Voiles de Saint-Barth, est de continuer à grandir ensemble. Le nautisme regroupe beaucoup de valeurs communes à Veuve Clicquot. C’est une vraie image pour notre marque. »
Farida Daoud Almadowar, Vice-présidente de Liérac :
« Le monde du nautisme et celui de la beauté affichent énormément de valeur communes : l’esthétisme, la technicité et la sensualité notamment. Le partenariat de Liérac avec les Voiles de Saint-Barth est la magnificence de toutes ces valeurs et c’est la raison pour laquelle je ne pourrais pas imaginer abandonner le sponsoring de cet évènement. C’est le monde dont je rêve pour tout le monde. C’est un grand plaisir et beaucoup de satisfaction pour moi de le voir se développer et prendre une telle ampleur. »
Crédit photos : © GRAMM Michael