L’avis de contrôle est tombé le 8 février dernier et “est destiné à évaluer l’existence, la qualité et l’efficacité des procédures mises en œuvre pour prévenir et détecter les faits de corruption, de trafic d’influence, de concussion, de prise illégale d’intérêt, de détournement de fonds publics et de favoritisme” au sein de la Collectivité. On devine que le positionnement du Président de la République lors de sa visite de septembre 2018 n’est pas étranger à cette action puisqu’il avait lui-même posé ce mot lourd : “Corruption”.
Les premiers entretiens sur place ont débutés et courront jusqu’au 21 février 2019, assumés par les agents de l’Agence française Anticorruption qui sont au nombre de 3.