UMP: Vous avez déjà déjoué tous les pronostics, la mobilisation continue !
Les résultats du 1er tour de l’élection présidentielle sont une leçon pour tous les commentateurs parisiens qui disaient que cette campagne présidentielle n’intéressait personne et que la gauche avait déjà gagné. Résultat, près de 80% des Français se sont rendus aux urnes et François Hollande et Nicolas Sarkozy sont dans un mouchoir de poche. Merci à vous pour le travail exceptionnel que vous avez accompli lors de cette campagne de premier tour. Soyez fiers, vous avez déjoué tous les pronostics pour le 1er tour, vous les déjouerez aussi 2ème tour ! Notre mobilisation est intacte !
Nous voici à l’heure de vérité. Après des semaines de combat inégal opposant 9 candidats contre Nicolas Sarkozy, nous voilà enfin au débat 1 contre 1. C’est maintenant que les Français vont pouvoir juger, projet contre projet, tempérament contre tempérament, quel est le candidat le plus à même de permettre à notre pays de conserver la maîtrise de son destin. La période où François Hollande se cachait derrière « l’équité » du temps de parole pour esquiver les questions est révolue. D’ailleurs François Hollande a montré qu’il se sentait en danger en refusant la proposition de débattre trois fois avec Nicolas Sarkozy. S’il était aussi sûr de lui et de ses idées, il n’aurait pas fui le débat… François Hollande a voulu 4 débats internes lors de la primaire PS pour aider les militants socialistes à choisir leur candidat, mais 1 seul débat lui suffirait pour aider les Français à choisir leur Président. C’est un déni de démocratie !
A l’inverse de François Hollande qui ne parle qu’au peuple de gauche, Nicolas Sarkozy s’adresse à tout le peuple de France. C’est sa force, c’est ce qui le fera gagner.
S’adresser au peuple de France, cela signifie traiter de tous les sujets, sans exception, qui préoccupent les Français. S’adresser au peuple de France, c’est ne pas s’interdire de parler d’immigration, de travail ou de dette au motif que ce sont des sujets importants pour Marine Le Pen ou François Bayrou.
D’ailleurs, Nicolas Sarkozy n’a pas attendu l’entre-deux tours pour traiter de ces sujets : depuis longtemps déjà, Nicolas Sarkozy avait dit au peuple de France qu’il voulait une règle d’or budgétaire ; qu’il voulait que la France soit à l’équilibre en 2016 ; qu’il voulait diviser l’immigration légale par deux ; qu’il voulait que le travail paye toujours plus que l’assistanat ; qu’il voulait baisser le coût du travail pour lutter contre les délocalisations ; qu’il refusait de casser le lien entre droit de vote et nationalité… Ces propositions ne relèvent d’aucune « centrisation » et d’aucune « droitisation », elles sont celles que Nicolas Sarkozy a toujours portées au service de sa vision d’une France forte.
C’est dans cette même volonté de s’adresser à tous les Français que, ce mardi 1er mai, Nicolas Sarkozy organise une grande fête du travail, place du Trocadéro à Paris. Je compte sur vous, pour vous y rendre nombreux et montrer que le 1er mai n’est pas l’apanage du PS et de la gauche des syndicats mais appartient à tous les Français qui travaillent !
Alors, dans une semaine, les Français seront confrontés à un véritable choix de société, un choix décisif pour l’avenir de notre pays. Je vous demande donc aujourd’hui de poser simplement une seule question à tous les Français, de gauche, de droite ou du centre : qui estiment-ils capable d’assumer et de relever les défis qui sont devant nous ? C’est, Nicolas Sarkozy !