En effet, la méthode identifiée pour lutter contre la prolifération de la bestiole est de développer la pêche de celui-ci et sa filière de commercialisation. Une question crutial se posait néanmoins quand à la capacité du Poisson Lion à bio-accumuler les toxine de la ciguatera, ce qui le rendrait proprement impropre à la consommation.
La réponse est partiellement donnée par une étude dont les résultats on été publié en juin dernier et que nous vous proposons ici en pièce jointe.
En terme de géo-localisation, les spécimens prélevés autour de Saint-Martin et de la Guadeloupe s’avèrent tous exempt de la toxine alors que ceux prélevés au large de Saint-Barthélemy ont eux révélé une présence de toxine dans près de 50% des cas.
Le poisson est donc potentiellement porteur mais comestible…… dès lors que son origine est connue…