Certaines anomalies ou malformations perturbent parfois un déterminisme clair plaçant les praticiens comme les parents dans des situations embarrassantes que l’administration ne permettait jusqu’alors d’éviter.
L’Allemagne répond en cela à une préconisation de la Cour constitutionnelle du pays, qui invitait le gouvernement à intégrer le fait que le genre ressenti et vécu est un droit humain de base. Toutefois, rien n’est dit quant à la nécessité d’un déterminisme a posteriori que pourrait assumer l’enfant en conscience.
C’est le journal Süddeutsche Zeitung qui révèle l’information, l’Allemagne deviendrait ainsi le premier pays en Europe, et le troisième au monde à reconnaître cette éventualité avec l’Australie et la Nouvelle Zélande. En la matière, le Népal, le Royaume Uni, le Portugal et l’Uruguay semblent avoir fait quelques avancées significatives.
Les chiffres relatifs au nombre de nourrissons concernés sont assez vagues et lorsque le Monde en annonce 200 par an pour la France, Rue 89 évoque la large fourchette de 50 à 150 000.