Les clichés ont cela d’agaçant qu’ils reposent sur une part de réalité, tel que l’illustrent les résultats de cette récente étude menée autour du plus célèbre des réseaux sociaux. Onze chercheurs américains, de l’université de Pennsylvanie, ont ainsi analysé des millions de messages échangés entre “amis” et les résultats sont désespérément banals : les femmes parlent d’amour et les hommes de sexe.
L’intégralité de cette étude en anglais est à votre disposition ici :
C’est ce qui s’appelle “enfoncer une porte ouverte”, me direz-vous, mais cette étude n’est qu’une part d’un projet plus vaste qui vise à déterminer l’état d’esprit des individus pour pouvoir évaluer leur bien-être global.
Ce que nous rappelle cette étude quelle qu’en soit la motivation, c’est que sur Facebook, comme en d’autres lieux, les messages privés n’ont de privé que le nom …