Gonzalo – Lorsque le cyclone inspire le poète…
Peut-on t’en vouloir, toi le solitaire qui nait sur la mer.
Tu n’as personne avec qui jouer et tu as du mal à juger ta force avec notre petite nature embryonnaire. Nous avons tous des raisons de t’en vouloir, car, pour certains c’est recommencer à zéro, pour d’autres, c’est l’inquiétude de savoir ou sont leur proches, mais au fond tant qu’il y a la vie il y a aussi l espoir.
La vie c’est un combat, c’est une bataille de plus,
Un autre défi à relevé,
Le matériel est accessoire et à bien y réfléchir nous contribuons par l’incessante avidité de consommation à détruire l’écosystème et nous t’en voulons,
Toi qui remets le voisinage d’équerre,
Toi qui ne fais pas de partialité,
Toi qui t’en va pour mourir plus loin, blessé comme une proie et personne ne s’en soucie.
Dans quelques années on aura oublié jusqu’à ce qu’un frère ou une sœur viennent nous rappeler qu’il nous faut aussi respecter la terre car elle n’a pas besoin de nous, mais nous nous dépendons d’elle pour notre survie.
Cocks Georges pour SXMinfo