COM – Petit zoom sur les dépenses de fonctionnement 2015
Puisqu’entre les débordements de Noël et les largesses espérées du Nouvel An, l’heure est aux comptes pour nombre d’entre nous, il nous a semblé intéressant de vous livrer ici une autre vision des dépenses budgétisées par la COM pour 2015.
Comme à l’accoutumée, nous vous épargnons le contenu des stériles pourparlers en séance qui sont à votre disposition sur d’autres supports et qui cette fois encore n’ont pas revêtu l’aspect constructif qu’on ne cesse pourtant d’espérer à chaque réunion du Conseil territorial ; puisque comme toujours, toutes les délibérations de la majorité ont été votées sans amendement.
Nous nous contenterons ici de partager avec vous cette image des principaux postes de dépenses de fonctionnement de la Collectivité, certains que vous saurez aussi y voir le reflet des priorités de ceux qui administrent notre vie citoyenne.
Et non, ne nous demandez pas à quoi correspondent les 240 000 € provisionnés au poste 6586 puisqu’à notre humble connaissance, seul la Team Daniel Gibbs dispose d’une collaboratrice des élus qui de plus ne doit pas impacter ces dépenses de fonctionnement outre-mesure puisqu’hébergée dans les locaux de l’UD / UMP à Galisbay…
En fait, nous avons désormais la réponse à cette question grâce à cette précision apportée ce jour, 31 décembre, par René Jean Duret, Président du groupe des élus de la majorité RRR : “Le chapitre 6586 concerne les crédits alloués au fonctionnement du CESC pour 170 000 € et des conseils de quartiers pour 70 000 €. Par ailleurs, la Collectivité paye 11 700 € de loyer par an à COMPUTECH pour l’hébergement dans ses locaux (et non dans ceux de l’UD/UMP) du groupe des élus d’opposition, la Team Daniel Gibbs.”
Nos remerciements vont à M. Duret pour cet utile éclairage. Pour autant, nous insistons sans même faire valoir notre expérience personnelle en la matière : les locaux (et le personnel ?) de l’UD / UMP et donc maintenant de la TDG également se confondent à Galisbay où est aussi sise la permanence parlementaire. Mais cela est peu surprenant sur un territoire où les compétences d’une part et les volontés d’engagement d’autre part sont trop rares pour pouvoir éviter les multi-casquettes.
