Quand même les produits non-transformés ne contiennent plus rien de ce qu’ils devraient…
Et pourtant… dire non à la facilité, aux plats préparés systématiques, au tout transformés, au micro-onde, aux packaging aguicheurs, aux couleurs appétentes, aux sucres imposés, aux gras, au pré-mâché, à l’imputrescible, aux standardisés, au fast-huîtres et autres rapide-asperge pour avoir une chance de goûter et de jouir des bienfaits de produits vrais ne semble plus être suffisant pour avoir au moins la sensation de s’alimenter de façon saine.
Une étude américaine, une parmi d’autres, intitulée “Still No Free Lunch” jette le pavé dans la mare en révélant que ces aliments considérés comme sains dans nos esprits contemporains n’ont plus rien en commun avec ce qu’ils ont pu être du temps de nos grand-parents.
Vitamines A et C, protéines, phosphore, calcium, fer, oligo-éléments ont été divisés par deux, par 25, voire par 100, en un demi-siècle ce qui en substance signifie que pour obtenir de nos aliments contemporains les même apports qu’il y a 50 ans, il faut en consommer beaucoup plus.
2 points fondamentaux : consommez bio autant que vous le pouvez ou que votre portefeuille vous l’autorise et surtout consommez mûr pour lisser les effets de la culture intensive !