Ainsi, on observe depuis fin décembre une tendance décroissante du nombre hebdomadaire de cas probables ou confirmés, compris entre 6 et 10 sur cette période, par rapport à la période précédente où ce nombre était compris entre 12 et 35 cas. Depuis début janvier, aucun patient n’a été hospitalisé pour un chikungunya biologiquement confirmé.
En raison de la baisse significative des indicateurs, le nombre de pulvérisation spatiales hebdomadaires passera de 2 à 1, de manière à assurer une meilleure gestion sur la durée dans le cas d’une éventuelle reprise à la hausse du nombre des cas.
Pour autant, il a été constaté par les services de la lutte antivectorielle (LAV), une augmentation de la présence de gîtes larvaires, notamment dans les gouttières et les citernes. Il convient donc de rester mobilisé et que chacun poursuive les efforts de prévention et de lutte contre le moustique Aedes Aegypti aux abords des habitations.
Il est donc rappelé aux habitants qu’il faut toujours veiller à :