Covid 19 ( SARS-CoV-2 ) : Le variant ” MU ” qui pourrait bien changer la donne
On en parle peu dans les colonnes de SXMINFO de la crise Covid. En effet, les chiffres utilisés par les uns et les autres finissent pas brouiller les vrais messages et nous nous refusons d’être les commerciaux de ces méthodes nauzéabondes.
Une chose est certaine, le SRAS-CoV-2 circule partout sur la planète et comme des milliers d’autres virus, il tue.
La politique mondiale à trouvée une parade extraordinaire a ces années de décroissance de nos institutions de santé publique avec l’apparition pratiquement magique de vaccins en un temps record. Aucune thérapie connue permettant le combat du méchant virus, ou du moins, le refus systématique, politique et économique, d’user de cette stratégie pour le bienfait des laboratoires dirigeants du monde, ont eu raison de l’intelligence collective. Le marketing vaccinal pouvait alors démarrer une véritable danse du ventre à grand coup de millions de doses en pointant du doigt les méchants antivax, anti-passe, antitout. Du moins, c’est ce qui est vendu sur la plupart des médias et agences de presse de ce monde cruel.
L’appel à la raison, au discernement, à la réflexion de professeurs, pourtant dont certains d’entre eux, très populaires et aux C.V. à faire pâlir la plupart d’entre nous n’auront pas permis de stopper ou même de modérer l’appât du gain, pardon, l’appât du gentil politique, sauveur à ces heures perdues de son peuple usant du privilège de ces rois qui nous dirigent à grands coups de textes de loi pondus entre deux séances revotée si nécessaire pour avaler la pilule.
Le grain de sable dont rêvent certains antivax sur l’hécatombe annoncée pour cause d’effet secondaire de la vaccination à gogo pourrait bien venir de la nature elle-même qui semble venir salir le tableau noir des marionnettistes. Les fameux “variants” ! Et pas des moindres ! Nous n’allons pas vous rappeler le variant Delta qui semble bousculer le cycle fantaisiste du nombre de doses afin d’avoir un top immunitaire d’un lion et qui du coup, rend encore plus septiques les… Septiques sur l’usage des vaccins vendu par la clique orgasmique politico-c’est-montour qui tente de sauver l’humanité. Peut-être le visionnage de séries tv américaine des sauveurs du monde a chaque épisode pourrait être une des explications rationnelles sur cette envie irrésistible d’infantiliser le peuple et surtout, de le sauver.
La petite pourrait bien déjà être parmi nous. Ce variant du SARS-CoV-2, baptisé ” Mu ” et qui fait peur à l’OMS a été détecté pour la première fois en Colombie en janvier. Depuis, il a été signalé dans d’autres pays d’Amérique du Sud et en Europe. ” Bien que la prévalence mondiale du variant Mu parmi les cas séquencés ait diminué et soit actuellement inférieure à 0,1 %, sa prévalence en Colombie [39 %] et en Equateur [13 %] a constamment augmenté “, a expliqué l’OMS.
Et voilà, les cartes sont posées et distribuées. À ce titre, savez-vous que vous pouvez fermer toutes les frontières du monde, vous n’empêcherez pas un variant de circuler ? Parce qu’un variant peut émerger de n’importe où ! Contrairement aux histoires vendues par les gouvernements, qui affirment par exemple pour le variant Delta, qui a été découvert en premier en Inde, circule par les échanges et le déplacement des individus… Et bien ce n’est pas tout à fait exact. Le Variant Delta n’a pas nécessairement circulé de l’Inde vers les autres pays. La mutation, c’est opéré ailleurs ! Tout simplement… Mais si on détecte cette souche ailleurs, il garde son nom, car le nom du variant est donné par apport à la première détection dans un pays.
Bon, aller, en fait, ce n’est pas le sujet. Le sujet est bien le variant ” MU ” qui semble inquiéter réellement l’OMS (Bon, une vraie inquiétude celle-la ?) Le variant – B.1.621, d’après la nomenclature scientifique – a pour l’instant été classé comme ” variant à suivre “, a précisé l’OMS dans son bulletin épidémiologique hebdomadaire sur l’évolution de la pandémie de Covid-19. L’OMS précise que le variant présente des mutations qui pourraient signifier un risque d’ ” échappement immunitaire ” – en d’autres termes une résistance aux vaccins –, et souligne que des études supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre ses caractéristiques.
Quatre variants préoccupants
L’apparition, à la fin de 2020, de variants qui présentaient un risque accru pour la santé publique mondiale a conduit l’OMS à caractériser des variants à suivre et des variants préoccupants, afin de hiérarchiser les activités de surveillance et de recherche au niveau mondial. L’OMS a décidé de nommer les variants à suivre ou préoccupants à l’aide de lettres de l’alphabet grec, afin d’éviter toute stigmatisation d’un pays en particulier et de permettre au grand public de prononcer les noms plus facilement. Actuellement, l’OMS considère que quatre variants sont préoccupants, dont les variants Alpha, présent dans 193 pays, et Delta, présent dans 170 pays, tandis que cinq autres variants sont à suivre (y compris Mu).
Selon la base de données internationale Gisaid, le variant Mu a été détecté dans une quarantaine de pays, parmi lesquels les États-Unis, le Mexique, l’Espagne, les Pays-Bas et l’Italie. La France l’a aussi détecté « sporadiquement » en métropole depuis mai, précise Santé publique France (SPF), dans un récent état des lieux des variants. ” À l’heure actuelle, on ne sait pas comment le B.1.621 se comportera par rapport à Delta et ce variant fait l’objet d’une surveillance attentive, même si une transmission accrue par rapport à Delta semble peu probable “, veut rassurer l’agence.
Ouf, tout est sous contrôle en fait, nous avons tous eu chaud. Ou pas…