Le moustique Aedes albopictus ou moustique tigre, vecteur de la dengue et du chikungunya, est présent en France métropolitaine depuis 2004. Il expose au risque de transmission autochtone de ces arboviroses du fait de l’introduction régulière des virus par des
L’Organisation Mondiale de la Santé avait dans un récent rapport pointé du doigt le caractère cancérigène du malathion, produit insecticide, interdit en Europe notamment, mais qui par mesure dérogatoire pouvait depuis août 2014 être utilisé en Guyane pour lutter contre
Compte tenu de l’évolution de la situation épidémiologique sur l’île de Saint-Barthélemy, Compte tenu de l’importance des traitements insecticides réalisées depuis la fin de l’année 2013, Compte tenu de l’importance des phénomènes de résistance à la deltaméthrine détectés sur la population des
Depuis le chikungunya en novembre 2014, le Conseil Général de Guyane en charge de la lutte contre l’épidémie avait recours aux pulvérisations de malathion. Mais l’OMS, organisation mondiale de la santé, dans un avis rendu public le 20 mars dernier
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Le nombre hebdomadaire estimé de cas évocateurs de chikungunya s’est stabilisé depuis la recrudescence observée début décembre 2014. Au cours des semaines 2015-08 et 2015-09, il est respectivement de 33 et 35 cas, chiffres inférieurs à ceux
Suite au comité de gestion du chikungunya réuni à Saint-Barthélemy le 6 février 2015, le maintien du positionnement du territoire en phase 2 du Plan de Surveillance, d’Alerte et de Gestion des Epidémies (PSAGE) “Transmission autochtone modérée” est confirmé. Ainsi, on observe
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Le nombre hebdomadaire estimé de cas évocateurs de chikungunya n’a cessé de diminuer depuis la recrudescence observée début décembre. Au cours des semaines 2015-03 et 04, il est respectivement de 50 et 53 cas, chiffres
A Saint-Martin, l’augmentation du nombre de cas cliniquement évocateurs observée début décembre ne s’est pas poursuivie. Saint-Martin est actuellement en phase 2 du Psage*. A Saint-Barthélemy, la transmission virale reste soutenue depuis la reprise épidémique de début novembre 2014. En
Cher lecteur, oui toi qui nous lis régulièrement (ou moins), toi avec qui on partage quotidiennement (ou moins souvent) nos analyses ou réflexions, parfois même notre sentiment ou, au pire, juste des faits d’actualité… qui es tu vraiment ? que
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Au cours des deux premières semaines de décembre (S2014-49 et S2014-50), le nombre de consultations est en augmentation avec respectivement 133 et 110 cas cliniquement évocateurs de chikungunya. Au total, entre fin novembre 2013 et le 15 décembre 2014, le
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Au cours des deux premières semaines de décembre (S2014-49 et S2014-50), le nombre de consultations est en augmentation avec respectivement 133 et 110 cas cliniquement évocateurs de chikungunya. Au total, entre fin novembre 2013 et le 15 décembre 2014, le
La Préfecture de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin et l’Agence Régionale de Santé de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin informent qu’une remontée des cas cliniquement évocateurs liés au virus du Chikungunya est observée à Saint-Barthélemy depuis plusieurs semaines consécutives. La situation au
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Depuis fin novembre 2013 et jusqu’à la semaine S2014-36, on estime à 4090 le nombre de cas cliniquement évocateurs de chikungunya vus en consultation de médecine de ville (Figure 1). Au cours des semaines S2014-35
Paris, le 21 août 2014 Lutte contre l’épidémie de Chikungunya en Guyane : au regard des enjeux de santé publique et après évaluation des risques pour l’homme et l’environnement, le Gouvernement a autorisé temporairement un usage contrôlé de l’insecticide « malathion » En
Ce point épidémiologique présente l’évolution temporo-spatiale de l’épidémie de chikungunya aux Antilles et en Guyane. Il se base essentiellement sur le suivi des cas cliniquement évocateurs estimés à partir des cas signalés par les réseaux de médecins sentinelles. Il est
Un vaccin expérimental mis au point par des scientifiques américain contre le chikungunya a montré des résultats prometteurs suite aux premiers essais sur l’homme. Une étude publiée jeudi dans la revue médicale Américaine The Lancet, indique que les résultats du vaccin sont impressionnants sur 25 volontaires adultes sans aucun effet
En semaine 30, le Panama, les Iles Caïmans et la Barbade ont chacun notifié à l’OMS un cas autochtone de chikungunya. Il s’agit de trois nouveaux territoires affectés par l’épidémie en cours dans la sous-région (cf. Carte). Du 6 décembre
Ce point épidémiologique présente l’évolution temporo-spatiale de l’épidémie de chikungunya aux Antilles et en Guyane. Il se base essentiellement sur le suivi des cas cliniquement évocateurs estimés à partir des cas signalés par les réseaux de médecins sentinelles. Il est publié une
Aujourd’hui… il n’y a pas d’épidémie de chikungunya ni de dengue en France Métropolitaine. Cependant, un moustique qui peut véhiculer ces virus, appelé Aedes albopictus, est présent dans certaines régions de France. Détecté en Italie dans les années 1990, Aedes
A la veille de la saison des pluies dans les DFA et dans le contexte de l’épidémie de chikungunya qui touche les Antilles, les ministres de l’intérieur et des outre-mer ont décidé d’envoyer des renforts spécialisés de la sécurité civile.
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Depuis fin novembre 2013, on estime à 3540 le nombre de cas cliniquement évocateurs de chikungunya vus en consultation médicale de ville jusqu’au 29 juin 2014 (Figure 1). Au cours de la dernière semaine de
NDLR. En préambule à ce point hebdomadaire et à titre anecdotique, alors que l’on aurait tendance à penser que cette épisode “chikungunya” est une première à Saint-Martin, une archive du France-Antille du 29 septembre 2006 nous rappelle que le virus
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Entre fin novembre 2013 et le 8 juin 2014, le nombre de cas cliniquement évocateurs de chikungunya vus en consultation médicale de ville est estimé à 3380 (Figure 1). Au cours de la première semaine
Depuis le 23 décembre 2013, 540 cas cliniquement évocateurs de chikungunya ont été estimés à Saint-Barthélemy. Si la transmission du virus reste modérée, pour autant, depuis deux semaines, il est constaté une augmentation du nombre de cas. Ainsi, 23 cas ont été
Ce point épidémiologique hebdomadaire présente l’évolution temporo-spatiale de l’épidémie de chikungunya aux Antilles et en Guyane. Il se base essentiellement sur le suivi des cas cliniquement évocateurs estimés à partir des cas signalés par les réseaux de médecins sentinelles. Chaque
