Le moustique Aedes albopictus ou moustique tigre, vecteur de la dengue et du chikungunya, est présent en France métropolitaine depuis 2004. Il expose au risque de transmission autochtone de ces arboviroses du fait de l’introduction régulière des virus par des
L’Institut de veille sanitaire (InVS), en partenariat avec l’administration pénitentiaire, publie la première analyse des causes de décès des agents et ex-agents pénitentiaires sur la période 1990-2008. Cette étude s’inscrit dans une réflexion globale de l’administration pénitentiaire sur la santé
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Le nombre hebdomadaire estimé de cas évocateurs de chikungunya s’est stabilisé depuis la recrudescence observée début décembre 2014. Au cours des semaines 2015-08 et 2015-09, il est respectivement de 33 et 35 cas, chiffres inférieurs à ceux
Surveillance des syndromes grippaux* Le point épidémiologique Une importante augmentation du nombre estimé de consultations pour syndrome grippal chez les médecins généralistes de Saint-Martin est observée au cours de ces dernières semaines avec respectivement 237 et 361 cas en deuxième et troisième semaine de
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Le nombre hebdomadaire estimé de cas évocateurs de chikungunya n’a cessé de diminuer depuis la recrudescence observée début décembre. Au cours des semaines 2015-03 et 04, il est respectivement de 50 et 53 cas, chiffres
L’Institut de veille sanitaire confirme le franchissement du seuil épidémique national pour la seconde semaine consécutive, signant le début de l’épidémie grippale. Entre le 19 et le 25 janvier (semaine 4), le taux d’incidence des consultations pour syndromes grippaux est
A Saint-Martin, l’augmentation du nombre de cas cliniquement évocateurs observée début décembre ne s’est pas poursuivie. Saint-Martin est actuellement en phase 2 du Psage*. A Saint-Barthélemy, la transmission virale reste soutenue depuis la reprise épidémique de début novembre 2014. En
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Au cours des deux premières semaines de décembre (S2014-49 et S2014-50), le nombre de consultations est en augmentation avec respectivement 133 et 110 cas cliniquement évocateurs de chikungunya. Au total, entre fin novembre 2013 et le 15 décembre 2014, le
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Au cours des deux premières semaines de décembre (S2014-49 et S2014-50), le nombre de consultations est en augmentation avec respectivement 133 et 110 cas cliniquement évocateurs de chikungunya. Au total, entre fin novembre 2013 et le 15 décembre 2014, le
L’Institut de veille sanitaire a présenté, à l’occasion de deux conférences internationales sur l’environnement et la santé1 2, les premiers résultats du volet périnatal du programme national de biosurveillance. Il s’agit des premiers résultats disponibles à l’échelle nationale, chez la
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Depuis fin novembre 2013 et jusqu’à la semaine S2014-36, on estime à 4090 le nombre de cas cliniquement évocateurs de chikungunya vus en consultation de médecine de ville (Figure 1). Au cours des semaines S2014-35
Ce point épidémiologique présente l’évolution temporo-spatiale de l’épidémie de chikungunya aux Antilles et en Guyane. Il se base essentiellement sur le suivi des cas cliniquement évocateurs estimés à partir des cas signalés par les réseaux de médecins sentinelles. Il est
En semaine 30, le Panama, les Iles Caïmans et la Barbade ont chacun notifié à l’OMS un cas autochtone de chikungunya. Il s’agit de trois nouveaux territoires affectés par l’épidémie en cours dans la sous-région (cf. Carte). Du 6 décembre
Ce point épidémiologique présente l’évolution temporo-spatiale de l’épidémie de chikungunya aux Antilles et en Guyane. Il se base essentiellement sur le suivi des cas cliniquement évocateurs estimés à partir des cas signalés par les réseaux de médecins sentinelles. Il est publié une
Aujourd’hui… il n’y a pas d’épidémie de chikungunya ni de dengue en France Métropolitaine. Cependant, un moustique qui peut véhiculer ces virus, appelé Aedes albopictus, est présent dans certaines régions de France. Détecté en Italie dans les années 1990, Aedes
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Depuis fin novembre 2013, on estime à 3540 le nombre de cas cliniquement évocateurs de chikungunya vus en consultation médicale de ville jusqu’au 29 juin 2014 (Figure 1). Au cours de la dernière semaine de
NDLR. En préambule à ce point hebdomadaire et à titre anecdotique, alors que l’on aurait tendance à penser que cette épisode “chikungunya” est une première à Saint-Martin, une archive du France-Antille du 29 septembre 2006 nous rappelle que le virus
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Entre fin novembre 2013 et le 8 juin 2014, le nombre de cas cliniquement évocateurs de chikungunya vus en consultation médicale de ville est estimé à 3380 (Figure 1). Au cours de la première semaine
Ce point épidémiologique hebdomadaire présente l’évolution temporo-spatiale de l’épidémie de chikungunya aux Antilles et en Guyane. Il se base essentiellement sur le suivi des cas cliniquement évocateurs estimés à partir des cas signalés par les réseaux de médecins sentinelles. Chaque
Ce point épidémiologique hebdomadaire présente l’évolution temporo-spatiale de l’épidémie de chikungunya aux Antilles et en Guyane. Il se base essentiellement sur le suivi des cas cliniquement évocateurs estimés à partir des cas signalés par les réseaux de médecins sentinelles. Chaque
Surveillance des cas cliniquement évocateurs Depuis fin novembre 2013 on estime à 3240 le nombre de cas cliniquement évocateurs de chikungunya vus en consultation médicale de ville jusqu’au 11 mai 2014 (Figure 1). Durant la deuxième semaine de mai 2014
Ce point épidémiologique hebdomadaire présente l’évolution temporo-spatiale de l’épidémie de chikungunya aux Antilles et en Guyane. Il se base essentiellement sur le suivi des cas cliniquement évocateurs estimés à partir des cas signalés par les réseaux de médecins sentinelles. Chaque
Ce point épidémiologique hebdomadaire présente l’évolution temporo-spatiale de l’épidémie de chikungunya aux Antilles et en Guyane. Il se base essentiellement sur le suivi des cas cliniquement évocateurs estimés à partir des cas signalés par les réseaux de médecins sentinelles. Chaque mois, le
Ce point épidémiologique hebdomadaire présente l’évolution temporo-spatilae de l’épidémie de chikungunya aux Antilles et en Guyane. Il se base essentiellement sur le suivi des cas cliniquement évocateurs estimés à partir des cas signalés par les réseaux de médecins sentinelles. Chaque mois, le
La circulation du virus chikungunya reste généralisée à Saint-Martin; le nombre de cas cliniquement évocateurs continue à progresser. Cette collectivité est en phase d’épidémie généralisée. A Saint-Barthélémy la progression de l’épidémie reste modérée. Ce territoire reste toujours en Situation épidémique.
